Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vive la vie - Page 34

  • En bord de Vie


    Feu d'artifice
    Vidéo envoyée par lealee

  • Un petit air de vacances ......

     
    897e2643508cd0d5dffe3f3468402a9e.jpg
     
    6ff2cdbc9a36ae1a49762f79c7077c43.jpg
     
    0f233d8b82b44ff61d45feff5f103564.jpg
    Un vrai château fort à Commequiers.
     
    8765f33431a4d155de7484f674248545.jpg
    Et un coucher de soleil sur la Corniche de Sion......
     
    Voilà une première partie de vacances en Vendée.
     
     
    Je ne vous conseille pas le resto du centre à Apremont, où l'on sert  la spécialité maison
    "poisson au beurre blanc"  baignant dans sa sauce avec comme accompagnement une bribe de poireaux, ceci sans riz ni pomme de terre......et la patronne qui a osé me dire que ça ne se faisait plus de mettre  dans son plat une patate.....infâme.....
     
    Sinon si vous voulez d'autres rencarts dites le moi...... 
     
     
     
     

  • Pour Paroles Plurielles cette fois-ci quelques phrases à insérer dans le texte.

    4e1a4e3714cbc5bdc1392f71d80b5d3d.jpg

    Elle s'appelait Maman.


    Elle est debout, et se précipite vers la cuisine, prépare son petit-déj. L'oeil encore hagard, la clope au bec. Mais que se passe-t'il encore ce matin pense-t-elle ? Il fait bien sombre dans le petit appart parisien....

    Le café ou plutôt le « nes » n'est pas très chaud, elle le préfère comme ça, c'est un parti pris.

    Elle a froid aux pieds et enfile des affreuses chaussettes de couleur verte.

    Les cendres de sa cigarette tombent ici ou là sur la moquette tachée. Mais quelle heure est-il pense-t-elle ? j'ai froid.

    Elle met la radio mais ne trouve pas son émission préférée.

    Où se trouve encore ma montre. Chaque jour c'est pareil, elle l'oublie là ou là, mais zut aujourd'hui elle l'a vraiment paumée. Tant pis, dit-elle en ouvrant les persiennes en bois dont certaines lames manquent. Volets typiques d'immeuble parisien début 20ème. La cour est bien calme, pas de bruit de rue. Mais quelle heure ......Et ce jour-là, le soleil s'est levé comme d'habitude.

     

     

    Ce texte ne sera pas publié dans Paroles Plurielles c'est ainsi pour cause de vacances, mais ceux qui le veulent peuvent y participer en le mettant sur leur blog alors....voilà. 

  • Cette semaine le thème sur Impromtus Littéraires : Une lumière derrière la porte

    Anne Bonaventure - Une lumière derrière la porte 

    (L'adresse du site des Impromptus se trouve dans ma liste à gauche)


    Il devenait urgent de trouver un abri au sec. Nous ne pouvions continuer sur cette route où la conduite devenait impossible : une lisibilité nulle, la pluie infernale. La voiture 2 CV ne tenait plus la route et prenait l'eau.
    L'enfant derrière pleurait sans cesse, les chiens jappaient. J'en avais assez de Le suivre dans ses promenades sans but. Il a bien fallu s'arrêter quelque part et ce quelque part nous fût dans un sens fatal. En Bretagne nous nous étions égarés. Oh vivre en Baba ne me plaisait plus depuis l'arrivée de la petite.
    La proprio nous avait ouvert sa maison en nous prévenant que c'était par pure bonté.
    J'avais bien remarqué son air coincé, un sourire étrange sur ses lèvres bleuies par le froid. Mais je ne pouvais me douter une seule seconde de la suite des évènements.
    Toute la nuit je suis restée tétanisée, les yeux rivés sur une lumière derrière la porte. Les chiens hurlaient à la mort.
    Nous étions coincés là au fond d'un lit dont les draps étaient humides, la petite et les deux chiens blottis tous contre moi.
    Je ne pouvais dormir, les yeux rivés sur ce bas de porte.
    Je me demandais ce qu'il pouvait bien y avoir derrière. Plutôt que se passait-il derrière ?
    Quand je compris , plutôt quand j'entendis, le dégoût m'envahit : tout mon corps se mit à trembler d'horreur et de désespoir.
    Mon homme avait disparu. Je ne pouvais croire une seconde qu'il nous abandonnerait. Sa curiosité lui fût fatale.
    Toute la nuit des gémissements de plaisir avaient envahi la demeure.
    Oui j'avais bien compris.
    Le lendemain « l'âme en peine » de la Femme Abandonnée avait été satisfaite.
    Sa vengeance : détruire, détruire.....
    Depuis mon homme n'est jamais revenu.
    Moi qui ne croyais pas du tout aux revenants et à toutes ces bêtises, je peux vous assurer que là toute mes idées préconçues s'écroulèrent.


    bdad16f666fb6dadca902a89ae715440.jpg
  • Ils viennent d'avoir "100 ans" .....

    5135b3f037ad9e3d1f2973a771841ae7.jpg
     
     
     
    Je leur envoie encore ici toute mon amitié. 

  • Petites pensées pour notre rendez-vous d'il y a un an....

    cliquez-là

     

    Tout est là ..... Pour les nostalgiques et les curieux, les nouveaux et ceux qui n'ont pu y participer.....Il n'y a pas que les bloggueurs de la capitale qui se réunissent, hé oui, nous aussi en province nous avons des idées....bien sûr notre point de ralliement fût à Paris.

    Les blogs rapprochent ceux qui ont envie de partage..... 

  • Faut ce qu'il faut.....

  • BARBAPAPA à introduire dans le texte pour les Impromptus Littéraires cette semaine

    Anne Bonaventure - Barbe à papa/ barbapapa

    Nous avions été contactés pour animer les premiers Barbapapa. Ce n'était pas vraiment notre truc, mais bon on ne pouvait pas refuser.
    Lui faisait de la BD, moi à l'occasion ; j'ai plutôt une formation de peintre alors...
    Dans un pavillon moderne de banlieue était installé la production de ces chers gros bibendum venus d'ailleurs, oui pas d'Astérix ni d'Obelix.
    Bref notre essai n'a pas été concluant. D'ailleurs nous n'étions pas emballés par le graphisme assez caoutchouteux de ces personnages, que nous devions faire évoluer, en fait oui je me rappelle ce devait être pour les dessins animés.
    De retour sur la Nation pour nous faire plaisir la Foire du Trône offrait des distractions qui à l'époque étaient moins onéreuses qu'aujourd'hui. Entre barbe à papa et pommes d'amour j'avais le choix et gourmande comme j'étais j'ai tout engouffré pour me consoler de l'échec du matin. Oui nous n'avions pas été sélectionné.

    Mais le pire ce soir là, comme nous étions invités chez mes parents pour raconter notre journée. Les pauvres ils se faisaient du mauvais sang, leurs enfants ne trouvaient que de petites piges. Mon père toujours aussi coquet avait taillé mais quoi : sa barbe à papa !!!!

    Ce jour fût mémorable j'ai eu une indigestion de barbe à papa.

    Le carnet de l'auteureL'image “http://babar.grosquick.net/photos_gros/2005/02/brubru1107782561_gros.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.